Jour 33: Réveillée par le chant (ça me prendrait un autre mot que chant, car ce n'est pas harmonieux du tout...) des perruches-loros. On dirait un mélange entre le cri de la mouette, de la corneille et parfois de la poule. Je suis sortie sur le balcon demander à Claude s'il se passait quelque chose de particulier tellement il y en avait! On n'a jamais su pourquoi c'était si intense ce matin.
On a passé pas mal de temps à la plage. On suit les petits sentiers et on découvre d'autres plages cachées de la route. Le sable et l'eau sont moins beaux sur l'île que ce que l'on a vu jusqu'à présent au Brésil, mais on se baigne quand même. 😎 Je n'ai jamais eu aussi chaud et jamais sué autant de toute ma vie! 9h30 le matin, nous sommes juste allés déjeuner et je dégoutte! Sur la plage, quand le vent cesse, il vient une de ces chaleurs... c'est comme si on ouvrait la porte du four! Obligés de se désaltérer. 😉
Souper à notre table 73 (2e soir de suite) chez Viana. 😋






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